Gym Douce et Gym Tonic pour adultes Ces cours permettent de découvrir l’entraînement pour tous. Dans cette classe, la priorité est donnée à la prise de conscience de son corps tout en gardant le plaisir de bouger. Le principe fondamental de la méthode Pilates réside dans le développement uniforme et harmonieux du corps.

Le Pilates est une méthode d’entraînement physique qui s’inspire du yoga, de la danse et de la gymnastique. Au sein de notre Académie, nous la pratiquons au sol, sur un tapis.
On utilise également des « jouets proprioceptifs ». Ces objets (ballons, rouleaux, élastiques) induisent des déséquilibres, ce qui incite le corps à faire appel à une série spécifique de muscles stabilisateurs.

Les exercices sont laborieux, mais doux : sans mouvements brusques et sans chocs d’impact. Ils ne doivent jamais causer de douleur, ni surtaxer un groupe musculaire.
Au contraire, un programme complet d’exercices vise à mettre en action, en alternance, tous les groupes musculaires, parfois dans des combinaisons inhabituelles.

On insiste particulièrement sur les exercices pour le bas du tronc (muscles abdominaux et fessiers), région que Joseph Pilates, le créateur de la méthode, appelait la « génératrice ». On mise aussi beaucoup sur la respiration. Comme ils demandent une concentration certaine, ces exercices permettent une bonne prise de conscience de la fonction musculaire et de son contrôle. Une bonne posture est essentielle à la pratique du pilates.


Les bienfaits de la méthodes Pilates

La méthode Pilates est principalement utilisée dans une perspective d’entraînement afin d’améliorer la force, la souplesse, la coordination et le maintien d’une bonne posture.
Selon les praticiens, pratiquée régulièrement et sur une assez longue période, elle agirait sur la santé globale des individus. Voici certains bienfaits dont ils pourraient profiter.

Pour muscler en profondeur
Les exercices de la méthode pilates sollicitent les muscles abdominaux, les fessiers, les muscles du dos, ce qui permet un renforcement des muscles en profondeur.

Améliorer la santé globale de l’individu
La méthode pilates permet de :
• corriger et d’améliorer la posture en raffermissant et en tonifiant les muscles ;
• développer la souplesse ;
• éliminer le stress grâce à une technique de respiration ;
• améliorer la coordination ;
• prévenir les blessures causées par une mauvaise posture.

En vue d’une entrée en école professionnelle de danse ou à la préparation à l’examen du certificat de professeur de danse de la F.S.E.D, cette section comprend : cours pratiques à raison d’un minimum de dix cours par semaine, cours théoriques sur l’histoire de la danse, de la musique et d’anatomie, mise en situation pédagogique.

Enseignée au sein de l’Académie dès l’âge de 10 ans, la danse moderne est née à l’aube du 20e siècle aux États-Unis et en Allemagne. Elle puise ses sources dans la nature, l’émotion et le geste. Elle permet de projeter dans l’espace et le temps la sensation du mouvement intérieur et d’exprimer par le geste une émotion artistique.

Ce style de danse se définit par l’abandon de pas codifiés au profit d’une expression personnelle développée par chaque chorégraphe. Elle donne place à une nouvelle liberté des mouvements et du corps. Même si la danse moderne s’affranchit des codes du ballet classique, ses chorégraphies restent le reflet d’une histoire et suivent la musique.

Ce sont surtout des femmes qui inventent la danse moderne. Aux Etats-Unis, ce sont Isadora Duncan, Loïe Füller, Ruth Saint-Denis, Martha Graham, Doris Humphrey pour les États-Unis.

Adaptation de différentes définitions, dont celle de Wikipedia.

On peut aborder la discipline Jazz Rythmes dès l’âge de 9 ans. Rythmes et mouvements du corps donnent aux élèves la possibilité de s’exprimer sur les accents impulsifs de la musique actuelle tout en conservant la grâce visuelle de la danse classique.
La danse jazz est un mélange de feeling, de spontanéité, d’expression de sentiments, de vivacité, de contraste. C’est le métissage par excellence.

On peut distinguer sa forme d’avant les années 1950 (jazz roots) de sa forme d’après les années 1950-1970 (modern jazz).

Le terme jazz apparaît en 1917 pour désigner une musique syncopée, dérivée de la culture noire américaine, puis est librement employé pour qualifier les danses issues de cette rythmique. De là, le vocable évolue vers le divertissement et désigne des formes de danses propres aux cabarets, aux théâtres, au cinéma, à la télévision, aux clips vidéo.

Apparentée aux claquettes des années 1920 de Broadway, la danse jazz atteint le monde entier et décline le cake-walk, le shimmy, le charleston, le black bottom et toutes les formes issues des revues noires de Harlem. On appelle aujourd’hui jazz roots cette forme de danse solo des années 1920 à 1940 par distinction avec la forme de danse jazz développée après 1940.

À partir des années 1940, les grands chorégraphes modernes intègrent la danse jazz dans les comédies musicales et lui confèrent une fonction narrative. Des artistes comme Jack Cole, Bob Fosse et Jerome Robbins lui donnent ses lettres de noblesse. L’improvisation spontanée fait place à l’occupation de l’espace et à l’expressivité musicale.

L’origine de l’expression modern jazz est plurielle : les années 1950 voient apparaître le terme modern jazz, expression née dans les studios new-yorkais de Matt Mattox et d’autres chorégraphes qui travaillent sur l’énergie, les rythmes syncopés, les arrêts, les silences, la dynamique et la surprise, tout en favorisant l’expression individuelle.
L’expression modern’jazz est née à la Nouvelle-Orléans, dans le Sud des États-Unis dans les années 1920 avec Martha Graham. Elle a évolué durant des décennies dans l’univers des comédies musicales et dans la danse contemporaine. Elle est née de l’évolution des chorégraphes qui se sont succédé. Dans le modern’jazz, une touche de nouveauté est apportée dans les chorégraphies.

Le modern jazz se veut harmonieux, sensuel et parfois acrobatique. La danse permet d’exprimer des mouvements pleins de sensualité tout en gardant l’harmonie des positions.

Adaptation de différentes définitions, dont celle de Wikipedia.

L’enfant entre dans un cycle d’observation dans lequel il se familiarise avec l’apprentissage de la danse dans sa généralité, il découvre les bases de la danse classique et du jazz, l’enfant apprend à se reconnaître dans un style.

La danse classique est à la base de notre formation au sein de notre académie. Dans cette classe, la priorité est donnée aux bases de la technique, à la tenue du corps tout en conservant le plaisir de danser. Pour assurer une certaine qualité de travail, il est indispensable que l’élève suive ses cours régulièrement. Aux passionnés, il est recommandé de prendre plusieurs cours dans la semaine.

La danse classique est sans aucun doute la “Mère” des autres danses, la base de toutes les autres techniques avec laquelle on peut aborder ensuite, toutes les disciplines.

Elle permet d’intégrer différentes notions primordiales :

  • Une rigueur qui lui est propre, et porte sur la discipline physique et la volonté de se surpasser
  • Une posture particulière qui implique de se tenir droit indépendamment des niveaux et qui prédispose à la silhouette typique des danseurs. Cette prise de conscience dans la manière de tenir son corps est un atout incontestable dans l’élégance qui deviendra ainsi naturelle dans la vie de tous les jours.
  • Un sens artistique motivé par la créativité de chacun et par le désir d’obtenir des gestes précis, dans la beauté du mouvement.

Cet art est souvent synoyme de grâce, de fluidité, de légèreté mais aussi de tenue. Pour atteindre cette aisance, on apprend la maîtrise de son corps pour se placer (l’en dehors, l’alignement, etc.) mais aussi les bases techniques les plus simples (le plié, le dégagé, etc.) comme les plus complexes (la pirouette, le grand jeté, etc.) ainsi qu’un vocabulaire approprié.

L’histoire de la danse classique

Forme héritière de la belle danse française pratiquée en Europe occidentale depuis le XVIIème siècle et dont les principes fondateurs techniques et esthétiques sont l’en-dehors et l’aplomb, l’esprit de rigueur et de netteté, le souci d’élégance et de clarté.
Art vivant, la danse classique ne cesse de s’enrichir, assimilant au fil des siècles de nouveaux apports (notamment, au XIXème siècle, la technique des pointes) et évoluant vers de nouveaux concepts : ainsi les notions de néo-classique et de classique du XXème siècle en font désormais partie intégrante. Composante essentielle du spectacle de Ballet, elle est diffusée à travers toute l’Europe durant les XVIIIème et XIXème siècles, puis gagne les autres continents dans la seconde moitié du XXème siècle. Ayant, pendant près de quatre siècles, subi des mutations, elle garde des éléments qui la rattachent à ses origines. Parmi ces traces durables, le vocabulaire qui a servi décrire et à nommer le mouvement, par son usage ininterrompu depuis le XVIIème siècle, étendu aujourd’hui de l’Amérique au Japon, consiste la preuve incontestable qu’elle demeure une esthétique de référence au-delà des modes et des frontières.

Avec la création de l’Académie Royale de danse en 1661, un formidable élan est donné. L’élaboration d’un vocabulaire gestuel, qui constitue la première étape d’un long cheminement, s’achève à l’aube du XVIIIème siècle avec la publication du traité de R.A. Feuillet. Articulé autour de 13 familles de pas totalisant quelques 500 variantes codifiées. Ce vocabulaire est mis au service tant de la danse haute que terre à terre, applications ponctuelles de la belle danse qui règne alors au bal et sur la scène (Ballet de cour). Durant tout le XVIIIème siècle, tant les genres lyriques (opéra-Ballet, tragédie en musique, tragi-comédie Ballet) que le Ballet pantomime exploitent le vocabulaire de la belle danse tout en l’enrichissant. Pratiquée par les danseurs professionnels, hommes et femmes, elle bénéficie des apports multiples des maîtres à danser appartenant à des cultures différentes qui contribuent au développement d’écoles nationales. Leur enseignement ainsi que celui de leurs prédécesseurs, consigné dans des traités, dévoile un pan de l’histoire de leur art dont les danseurs sont la mémoire vivante. Aussi au cours des XVIIIème et XIXème siècles, la danse évolue-t-elle considérablement tant dans sa technique que dans sa conception. Les héros délaissent les cimes du mont Olympe pour les forêts brumeuses du Nord (Ballet romantique) ou bien le monde enchanteur des contes de fées.

Plus que l’invention des pointes, c’est leur utilisation à des fins poétiques qui marque le nouveau style. Associées à la magie du jupon de tulle, et plus tard au tutu, elles confèrent à la danse classique son aspect quasi définitif. Mais les chorégraphes des Ballets russes de Diaghilev et ceux du style néoclassique rompent avec cette image stéréotypée. En multipliant les positions et les enchainements, en jouant avec l’aplomb dans une dialectique constante entre verticalité et horizontalité, en alternant mouvement arrondis et angulaires, ils créent un langage gestuel qui perpétue le classique tout en l’élargissant. M. Béjart va même plus loin en y incorporant et en assimilant apports et emprunts d’où qu’ils viennent. Si les pointes restent presque toujours de règle, le tutu, remplacé par le maillot académique, n’est plus le vêtement emblématique de la danseuse. Dans la brèche ainsi ouverte s’engouffrent des chorégraphes contemporains de filiation classique (J. Kylian, W. Forsythe) qui proposent une autre utilisation de leurs modèles de référence. Ainsi chaque époque, chaque chorégraphe, chaque interprète même, apporte sa contribution, modelant la danse classique par ajouts successifs dont aucun n’annule l’autre.
Définition du Dictionnaire de la danse – Larousse sous la direction Philippe Le Moal

Accompagnés de leur maman, les enfants découvrent la danse de façon tendre et ludique. Ce cours les aident à développer leur motricité, les encouragent et les motivent à la pratique du mouvement.

Cette classe prépare les enfants à la danse. Le plaisir du mouvement est primordial, le jeu a une place importante dans ce cours, les enfants découvrent leur corps, la musique, le mime et toutes les possibilités d’expression qu’ils possèdent en eux.

Tous droits réservés à l'Académie de danse Fabienne Rebelle Vouilloz © 2024
Création du site : MV

Contact et informations

Intéressé(e), alors contactez-nous !

Contact / Martigny
Rue des Alpes 1A
1920 Martigny

+41 (0)79 447 23 69
info@fabiennerebelle.com

Contact / Salvan
Rue Marconi 24
1922 Salvan

+41 (0)79 705 03 12
lucierebelle@gmail.com